Renouveau du Duché d'Arald

Sous une pluie battante de nombreux émissaires quittaient la forteresse Hardor, les uns après les autres. Le Royaume tout entier devait connaître le message proclamé par Eugénie Morgan, fille du Grand Duc du Nord.

Eric le Bion galopait sur son destrier, en direction de la Cour. Il se sentait honoré d'être celui qui devrait proclamé à la Tribune du Royaume la grande nouvelle. Alors peu lui importait cette météo détestable, il affronterait la pluie tout le long du chemin s'il le faut.

En ce Mardor, dernier jour du printemps de cette 6ème année de l'ère 16, Eric se présenta enfin devant la tribune des Seigneurs d'Okord et proclama d'une voix forte et fière :

" Seigneurs de notre bon Royaume d'Okord, la Vicomtesse Eugénie Morgan m'envoie ici-même pour vous annoncer officiellement ce jour le renouveau du Duché d'Arald. Ce nom que beaucoup connaissent ici est de nouveau de rigueur pour les terres de la province de Hardor contrôlées par la Vicomtesse Eugénie. Le Duché renaît et dès aujourd'hui la Vicomtesse Eugénie peut désormais être appelée Grande Duchesse d'Arald.

J'ai l'honneur également de vous donner les noms des premiers membres du Duché d'Arald :
- Karpolf, Labuge76 et Hisao Kurosawa en tant que Gouverneurs d'Arald
- Arhimeas et Niono en tant que Chevaliers d'Arald

Si des prétendants souhaitent intégrer le Grand Duché, ma maîtresse vous fait savoir que c'est tout à fait envisageable, je vous demanderai alors de bien vouloir vous rapprocher de moi, je resterai quelques temps à la Cour. "

Satisfait de l'effet de son annonce Eric recula d'un pas, fit une révérence puis se retira un peu plus loin, observant les réactions.

Ravi que le duché renaisse de ces cendres
Mais où sont passés nos chères anciens membres ? ... J' ai bien peur que nous soyons peu de vieux briscards à voir cette belle résurrection...mais ne soyons pas si nostalgiques, revivons la même aventure avec de nouveaux participants et surtout que le final ne soit pas le même je n'ai pas envie de revivre cette mauvaise destinée une deuxième fois.